TAKI BIBELAS expose à la galerie du 16 août au 28 septembre.

Thomas Berthuel-Bonnes
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Thomas Berthuel Bonnes
Artiste français qui vit et travaille à Baiona, au Pays Basque, en France.
Depuis 17 ans, l'engagement de Thomas dans la peinture est total et absolu.
Récemment diplômé de l'Académie de Dessin Bayard à Toulouse, et de l'Ecole de Photographie de Toulouse, il a eu une expérience en tant que "Copywriter" dans la publicité à "Publicis Paris", puis a réalisé un court métrage "R255", présenté au festival "Court devant" à Paris en 2009.
Ses débuts artistiques se font à Paris, jusqu'à ce qu'il prenne un petit appartement comme atelier, toujours rue Bayard, à Toulouse.
Ce retour aux sources est une révélation, un véritable engagement, ponctué de travaux temporaires, d'inspirations inhérentes au travail quotidien (outils, supports, cartons à pizza, brosses de nettoyage, pierres des carrières du sud de Toulouse, etc.)
Puis les expositions se succèdent, de centres culturels en galeries, à Toulouse, Paris, Londres, San Diego, jusqu'au Musée d'art contemporain de Martres-Tolosane en Occitanie.
Mais surtout, la peinture évolue, de la reproduction du premier timbre français (Cérès 1948), au travail du motif, en passant par un travail de coloriste, puis la couleur Bleu !
Dès le début, il travaille sur une forme ondulante qu'il répète. Celle-ci s'enrichit lorsqu'il découvre l'œuvre d'Oscar Niemeyer et notamment sa création brésilienne, le Musée d'Art Contemporain de Niteroi.
Cette rencontre est décisive.
Chez lui, la matière joue avec la superposition, elle se décline avec légèreté.
C'est ainsi qu'est née la série "LIAB" (Life Is A Breath)
Une autre série intitulée "Phosphenia" s'inspire du phosphène, phénomène de scintillement à la surface de la mer généré par la réfraction du soleil.
Une autre, "Chromatic -Tension", est un mélange de ses premiers motifs de vagues, peints sur du papier découpé pour montrer la tension entre les couleurs et les formes.
Thomas a un geste, construit et réfléchi, mais il laisse parfois la nature faire son travail.
Son travail abstrait interprète toujours, présente, mais ne représente jamais !
En 2019, l'un des grands réseaux de médias européens, a mis en avant son travail, grâce à une sélection de Konbini parmi d'autres artistes émergents de toute la France.
Depuis, son travail connaît un véritable succès international.